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La Supervision pour garantir la sûreté des systèmes industriels

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La Supervision pour garantir la sûreté des systèmes industriels, l’actualité nous rappelle quotidiennement que le risque zéro n’existe pas pour les activités industrielles. Et pour cause, pannes, interruptions de la chaîne d’approvisionnement, cyber-attaques, défaillances humaines, défaillances matérielles, erreur logicielles…, les systèmes industriels sont en permanence en proie à des problèmes divers qui peuvent perturber leur bon fonctionnement.

En tant que tel, il est important d’intégrer la sureté dans chaque système et chaque processus industriel. À cela, la supervision informatique apparait comme la solution la plus adaptée, bien qu’elle ne soit pas la seule, mais une bonne supervision s’avère indispensable.

Que vous soyez confronté à des problèmes de pannes, de disponibilité, de performances, de sécurité ou autre au niveau de vos systèmes, et ce, de manière trop régulière, adoptez la supervision industrielle au sein de votre entreprise si ce n’est pas déjà fait. Non seulement la supervision vous permet d’évaluer la sûreté de fonctionnement de vos systèmes, mais elle propose en plus des solutions pour l’améliorer.

Découvrez dans cet article comment la supervision peut contribuer à garantir la sûreté de vos systèmes industriels !

Qu’est-ce qu’on entend par sûreté des systèmes industriels ?

Pour répondre à cette question posée dans le titre, il convient d’abord de bien préciser ce qu’on entend réellement par système industriel. Pour cela, prenons comme exemple un système de production. Celui-ci regroupe l’ensemble des éléments matériels et logiciels qui sont nécessaires à la production de biens ou de services par une entreprise.

Une chose dont il a en commun avec tout système industriel, un système de production classique se divise en deux parties : une partie opérative et une partie commande. Pour chaque tâche réalisée (ex : découpage de tube, ébarbage de tube, soudage de cadre, assemblage…) par la partie opérative, c’est la partie commande qui en a donné l’ordre de le faire.

La partie commande est là pour que les différentes opérations se fassent suivant des procédures précises et de la meilleure manière possible. Seulement comme évoqué plus haut, le risque qu’une panne, une erreur ou autre évènement redouté survienne à tout moment n’est jamais nul. Ainsi, si l’apparition de ces évènements redoutés s’avère trop fréquente ou bien imprévisibles, alors on dit que le système n’est pas sûr.

La sûreté de fonctionnement d’un système industriel se mesure par le niveau de confiance que les utilisateurs ont sur la qualité et la continuité du service qu’il leur délivre.

Pour être qualifié de sûr, un système donné doit notamment être fiable. Autrement dit, il doit fonctionner pendant une durée suffisamment longue et raisonnable avant qu’une panne ou problème n’apparaisse. Il est nécessaire aussi qu’il présente un certain niveau de sécurité, avoir une disponibilité acceptable et enfin qu’il soit aussi maintenable. Pour information, la maintenabilité fait référence à la capacité d’un système à être remis en état de fonctionnement après une panne, une attaque informatique ou autre problème.

Quel est le véritable but de la supervision industrielle ?

Offrir aux superviseurs, et aux ordonnanceurs, tous les outils et les données nécessaires dont ils ont besoin pour la conception d’un système sûr, mais aussi le contrôle nécessaire pour s’assurer du bon fonctionnement de celui-ci. Voilà l’objectif principal de la supervision !

Mais plus concrètement, il s’agit d’une technique ou industrielle permettant de faire certaines choses qui garantiront le bon fonctionnement de votre système comme contrôler la disponibilité des services/fonctions, vérifier et suivre l’utilisation des ressources, détecter les pannes et les localiser, détecter et localiser les défauts/pannes, vérifier la disponibilité de chaque machine/périphérique, surveiller les objectifs de production (qualité, quantité, traçabilité, sécurité…).

Qui dit supervision dit forcément surveillance !

Grace à l’analyse en temps réel des données collectées, les logiciels de supervision ont cette capacité d’analyser l’état d’un système tout en fournissant aux superviseurs des indicateurs qui leur permettent de surveiller l’état du système à chaque instant. C’est ce qu’on appelle communément surveillance industrielle et elle se compose de deux fonctions principales : la détection des évènements (erreurs, défaillances, pannes…) et le diagnostic.

Le diagnostic, pour information, est la fonction qui rend possible la localisation avec précision des défaillances, des pannes ou des erreurs au niveau du système. Le diagnostic permet aussi l’identification des causes possibles.

Comment la supervision assure-t-elle de la sûreté des systèmes industriels ?

La supervision, une approche proactive de la détection des pannes et défauts

Les logiciels de supervision, en traitant en temps réel les données collectées, rendent possible la détection précoce ou à l’avance des pannes, des défauts (défauts capteur, défauts d’actionneurs, défauts du processus physique, défauts du système de commande), des défaillances, des cybermenaces et autres évènements qui ne sont pas toujours souhaités.

La détection précoce ou à l’avance garantit une prise en charge rapide des éventuels problèmes. Elle est aussi nécessaire dans la mesure où plus on attend et plus les dégâts que ces problèmes pourraient causer seront importants.

La supervision pour un retour immédiat à la normale,  en cas de pépin.

Contrairement à la surveillance informatique (monitoring), la supervision, elle, n’est pas un dispositif dit passif. En cas de panne ou autre évènement redouté, le système de supervision exécutera toutes les actions nécessaires pour le retour au fonctionnement normal et rapide du système ou du composant concerné.

Pour cela, il peut, entre autres, planifier une maintenance en avertissant par exemple les équipes d’astreinte ou encore gérer et corriger automatiquement les erreurs détectées (annulation des effets de défauts, compensation des erreurs, reconfiguration des composants…) afin de permettre au système de re-fonctionner rapidement.

Mettez en place un système de supervision qui peut, en plus gérer les astreintes

Quand vous mettez en place votre système de supervision, faites-en sorte que celui-ci puisse aussi gérer les alertes et les d’astreintes et permettent donc d’avertir le personnel d’astreinte en cas de problème au niveau du système, sur la chaîne de production par exemple, pouvant aller parfois jusquà la cellule de crise.

Et si vous êtes à la recherche d’une solution de gestion des astreintes, on vous recommande MEMOGuard. Conçu par Clever Technologies, ce dernier est un logiciel complet de gestion des astreintes. Il possède notamment la particularité de pouvoir s’interfacer avec la plupart des logiciels de monitoring et de supervision disponibles sur le marché comme SCADA, Nagios et Zabbix ou encore Centreon,

MEMOGuard, sa dernière version, un concentré de nouveautés et de technologies.

En tant que logiciel de gestion d’astreinte, MEMOGuard est avant tout un logiciel de gestion d’alarmes et d’alertes. Et à ce titre, il permet d’identifier une alerte ou une alarme pour ensuite la traiter et la diffuser suivant des procédures et des plannings d’astreinte pré-définis, aussi complexes soient-ils.

Comme procédures de gestion d’astreintes, MEMOGuard, qui dans sa dernière version est un concentré d’innovations et de nouvelles technologies, propose :

Le simple acquittement :

Le système appel la ou les personnes concernées par l’alarme. Ceux-ci tapent leur code personnel pour confirmer la connaissance de l’alerte. Puis, elles retapent le code dans son intégralité pour la prise en charge de l’incident (acquittement).

Le double acquittement :

Le premier acquittement signale au système que la prise en charge par un agent d’astreinte a bien eu lieu. Le second intervient pour signaler au système et aux personnes concernées que l’agent d’astreinte a fini son intervention.

MEMOGuard, tous les protocoles existants, et des ordonnanceurs à la pelle.

Et comme moyens de communication des alertes, vous pouvez utiliser n’importe lequel, voire plusieurs, parmi ceux qui vont suivre : le vocal (Téléphone fixe, ou GSM), hauts parleurs (Carte son), SMS (GSM), pager (Bip, Alphapage, ESPA 4.4.4, …), imprimantes, contacts secs (Ethernet, Rs232), panneaux lumineux (RS232), télécopies, email (Serveur Smtp), applications (scripts et applications pilotées), réseaux sociaux (Pages dédiées), push messages (iPhone, smartphone)…

Testez-le, et vous en serez conquis, un simple appel suffit pour cela : 00.33.1.60 53.60.53 www.clever.fr

 

Auteur Antonio Rodriguez, Directeur Clever Technologies

 

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