Toute la presse se fait écho, de la meurtrière coulée de boue au japon, qui s’est produite samedi dernier et qui a fait plusieurs morts, et une vingtaine de disparus pour l’instant, mais les recherches continuent et le bilan risque de s’alourdir, hélas comme souvent dans de tels cas, et les données diffèrent d’un média à un autre, qui cherchent tous à êtres plus sensationnels et plus catastrophistes les uns que les autres.
Ce n’est pas un lahar (mot d’origine indonésienne), qui veut dire coulée de boue, mais d’origine volcanique, ici il y avait des montagnes, mais pas de volcans, mais les effets sont similaires pour ne dire pires, les pluies torrentielles, denses et très drues, s’écoulent le long des montagnes pour arriver en bas, raser (détruire) les immeubles et les bâtiments trouvés sur la voie de passage, et provoquer ces catastrophes, dites naturelles, et qui emportent tout sur leur passage, en faisant un maximum de dégâts.
Il n’est pas question de faire du catastrophisme mal placé, mais certains habitants (japonais) prétendent qu’ils ont été prévenus mais relativement tard, ce qui peut s’avérer dommageable pour la survie des habitants qui de ce fait n’ont pas le temps de se retourner.
Pourtant le Japon dispose depuis le 1 octobre 2007, d’un système d’alertes rapides et précoces, en cas de catastrophes naturelles (séismes, coulées de boue, tsunamis, chaleurs anormales), ou autres tremblements de terre, et similaires, et un tel système est fait, pour alerter les populations, prévenir les citoyens, suffisamment à l’avance, pour qu’elles puissent s’organiser et partir dès que l’information est tombée.
L’alerte météorologique est nationale, elle a été déclenchée samedi matin à 8h54, et elle est donnée par la télévision, la radio, certains médias, et/ou réseaux sociaux, qui reprennent et amplifient les informations, et cela concerne tout phénomène estimé au moins à 5 (sur l’échelle de shindo); mais comme à chaque fois, la polémique fait rage, faut-il prévenir plus tôt, faut-il donner l’ordre ferme d’évacuer le terrain avant, même les experts japonais ne se mettent pas d’accord sur le sujet.
Sommaires
ATAMI, ville de 37.000 habitants au japon, presque rasée par les deux coulées de boue, consécutives.
Le premier ministre japonais Yoshihide Suga, a confirmé hélas, qu’il est impossible de donner un chiffre précis dans de tels cas, mais ils ont mis l’accent sur la difficile recherche des survivants; en précisant « Le gouvernement national, en collaboration avec les autorités municipales et tous les secouristes, va vérifier combien de personnes manquent à l’appel et sont donc réellement portées disparues », et le premier ministre a conclu par un vibrant appel demandant « aux secouristes de faire le maximum ».
Le bilan provisoire de la Ville d’ATAMI, suite à la catastrophe de samedi matin, donnait des chiffres allant de 80 à 120 personnes qui ne répondaient pas aux appels lancés, mais certains résidents ont pu partir en congés, et ils vont se manifester après, c’est pour cela qu’il est si difficile de donner un chiffre précis, la zone dévastée comportait environ 220 résidents permanents, mais le nombre de personnes concernées dépasserait les 3.000, et il est très difficile de fouiller dans les décombres (les éboulis), pleins de boue, de terre et d’eau.
Trois jours de pluies incessantes, (un vrai déluge) ont été la cause de cet éboulement, avec un impressionnant torrent de boue, qui partant des proches montagnes, à tout détruit sur son passage, laissant la ville en état de siège, des routes impraticables, des dizaines de maisons rasées, et plusieurs secteurs sans eau potable ni électricité, une catastrophe de plus pour les pauvres habitants, qui sont désemparés, par la force de la catastrophe et par ses dégâts, plus de 3.000 personnes sont concernées par le phénomène, et beaucoup ne pourront plus retourner chez eux.
En trois jours, il est tombé plus de pluie qu’habituellement durant tout le mois de juillet, donc normal que les flancs de montage s’affaissent, surtout que les sols sont volcaniques et fragiles, et qu’une grande partie de la ville est construite tout à flanc de montage, certains prétendent déjà que la maladie de trop construire et de mal construire est une des causes de cette catastrophe dite naturelle, mais qui aurait pu et du être évitée, si l’on avait procédé autrement, mais maintenant c’est trop tard.
Le Japon, très habitué, et trop souvent touché par ce type de phénomènes, 2018, 2014, 2011.
En juin 2018, le dimanche matin à à 7 h 58, le Premier ministre japonais Shinzo Abe avait du annuler une tournée dans quatre pays en Europe, (dont la Belgique et la France) à la suite des inondations et coulées de boue qui avaient frappé l’ouest du Japon; un fort séisme s’était produit dans la région d’OSAKA, de magnitude 5.5, intensifié au niveau 5,9 puis 6, et 6,1 selon l’échelle de shindo par l’agence météorologique japonaise, aucune alerte tsunami n’avait été émise.
En 2018, immédiatement, plus de 170 000 foyers ont été privés d’électricité à Osaka et dans la préfecture voisine de Hyogo, et la remise en fonction a une nouvelle fois, duré des heures et des heures, au détriment des pauvres habitants, qui n’ont pu que subir encore et encore ; et des grands constructeurs comme Toyota ont du arrêter leur production de véhicules, pour vérifier et contrôler la situation des chaines de production des véhicules, très dépendants de ces intempéries à répétition.
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